DORMIR DEHORS.
L’ancien
international français aime visiblement l’endroit où il habite mais se sent à
l’étroit. Il a décidé de sacrifier sa maison estimée à 3,7 millions d’euros,
pour se faire construire au même endroit une propriété plus fastueuse encore.
Il y a
quelques jours, l’autorisation administrative de démolir est arrivée au
domicile de Machin Chose. L’ancien joueur de football habite à Hampstead, un
quartier chic de Londres, au nord-ouest de Trafalgar Square, révèle Le
Figaro. Il va donc pouvoir se lancer dans une opération
démolition-reconstruction version luxe. Pour ce faire, il a du renoncer à
l’idée d’une terrasse sur le toit. Qu’importe, la future propriété atteindra
son objectif d’un surcroît de luxe.
Elle
s’étirera sur quatre niveaux. Car il faudra y installer tout ce qui se fait le
prestige des dites demeures : salle de sport, salle de jeu, bar, piscine
avec solarium, suites, parking, salle de cinéma, etc. Certes, pendant les
travaux, Machin Chose devra consentir
quelques sacrifices, notamment celui de loger dans son autre propriété du sud
de Manchester, évaluée « seulement » à 2,7 millions d’euros.
TRENTE.
Lui,
peuchère, il a la maladie de trente.
De
trente ?
Tu
le sais, toi, ce que c’est que la
maladie de trente ?
Non,
dis moi.
C’est
facile, la maladie de trente, c’est… Trente ans de trop.
HESITANT.
Fromage
ou dessert ? Hum… J’hésite…
Mais
avant ça, je me demande si je ne vais pas reprendre du petit bonhomme blond de
tout à l’heure ou bien alors de la petite brunette avec sa frange, se dit, dans
un grognement, visiblement repus, attablé, avachi, dormant à demi, devant les
restes encore fumant de son fameux festin de Noël, l’ogre qui, depuis des
lustres, terrorise toute la région.
DANS SA FACE.
Douglas T., le co-fondateur américain de la marque de vêtements de sports The
North Face, est mort mardi à l'âge de 72 ans dans un accident de kayak en
Patagonie, dans le sud du Chili, ont indiqué des sources médicales.
Douglas
T. est mort "d'hypothermie sévère" après que son kayak a
chaviré dans les eaux glacées du lac Général Carrera, a précisé le service de
santé du gouvernement chilien.
EN
TERRASSE.
Un
couple BCBG, très Lubéron Island, à une terrasse d’un café échange à propos des
méfaits du tabac, du fait de fumer avec un couple visiblement voisin de
classe. Une des deux dames très inspirée annonce : Un moment, j’ai failli
me mettre à la pipe, puis marquant un temps après ce début de phrase, elle
continue : mais j’ai arrêté avant.
Son
bonhomme, qui était resté silencieux et sans lever les yeux de son journal,
avec un sourire esquissé a, entre ses lèvres, laissé passer : Dommage…
RATTRAPÉ.
Un
jeune homme s’est donné la mort frappé par une profonde dépression. Atteint
d’une maladie neuro dégénarative grave, il avait été pourtant diagnostiqué en
rémission après avoir bénéficié d’essais de thérapie génique. On explique sa dépression soudaine par le fait d'être redevenu un enfant normal.
PAS DE BOL.
Un touriste français de 75 ans est mort ce week-end
à Gérone (Espagne) en voulant accomplir une tradition porte-bonheur.
A
Gérone, un Français de 75 ans est mort ce week-end en voulant embrasser la
statue de la Lionne. C'est une
tradition porte-bonheur dans la ville catalane : il faut toucher ou
embrasser les fesses de la statue, sur la place de l'église de San Feliu.
Des dizaines de personnes se pressent chaque jour au pied de la statue pour
accomplir ce geste.
L'homme
a chuté de l'escalier sans rambarde qui permet d'y accéder. Il aurait
glissé et serait tombé sur la tête. Le touriste faisait partie d'un
groupe de touristes français venus visiter la ville. Il a été transporté à
l'Hôpital Josep Trueta de Gérone, où il est décédé.
La municipalité de Gérone a décidé de retirer
l'escalier de fer ce lundi matin. Il a été installé il y a une
vingtaine d'années au pied de la sculpture, et devrait être remplacé par un
accès plus sécurisé. La mairie dit vouloir "maintenir la tradition", mais en assurant la sécurité.
Jamais un tel accident ne s'est produit autour de cette statue.
UN
INGRAT.
Un
homme a été retrouvé mort dans un enclos, dévoré par un chien qu’il avait sauvé
d’une mort certaine deux mois auparavant. L’homme avait trouvé cette bête
abandonnée, attachée dans une usine désaffectée. Il l’avait ramenée chez lui,
puis à la vie en la nourrissant, la soignant, lui prodiguant affections et
caresses. Le chien, si peu reconnaissant, a été euthanasié.
CHASSER TUE .
Un chasseur de 59 ans a fait une chute mortelle dans un ravin des Allues,
près de M., jeudi soir, sous les yeux de son fils. Il voulait jeter les
entrailles de plusieurs proies en contrebas.
Un
chasseur a fait une chute mortelle dans le village des Allues, près de M., sous
les yeux de son fils et d'un ami, jeudi soir. Il venait de tuer un cerf.
L'accident s'est produit en pleine nuit.
Il est
20.30 quand ce chasseur de 59 ans, originaire de la commune, veut se
débarrasser des entrailles de plusieurs bêtes avec son fils et un ami. Les
trois hommes viennent de tuer un cerf. Ils l'éviscèrent et placent ses
entrailles dans un sac. Ils veulent jeter plusieurs sacs similaires dans
le ravin. C'est une pratique courante en montagne, où les viscères sont
rapidement dévorées par les renards ou les sangliers. Mais dans
l'obscurité, le chasseur est déséquilibré et entraîné dans le vide par le poids
des sacs. Il fait une chute de 100 mètres. Il est tué sur le coup.
Son
fils parvient à descendre en contrebas avec une corde. A la lueur de son
téléphone portable, il finit par trouver le corps de son père. Il donne
l'alerte, et une quinzaine de pompiers, puis le Samu tentent de ranimer la
victime, sans succès. Les secouristes spécialisés parviennent finalement à
remonter le corps, mais l'intervention est très délicate. Elle dure jusqu'à
minuit et demi. La gendarmerie de B. a ouvert une enquête.
FAITS DIVERS
Il disait avoir été agressé ce lundi matin 14
décembre au cutter et aux ciseaux dans sa classe à Aubervilliers
(Seine-Saint-Denis) par un homme qui a invoqué le groupe Etat islamique.
L'instituteur d'Aubervilliers a reconnu avoir inventé son agression, a annoncé
le parquet de Paris en fin d'après-midi.
Âgé de 45
ans, l'enseignant assurait avoir été poignardé au flanc et à la gorge vers
07H10, alors qu'il préparait sa classe dans l'école Perrin d'A. Il avait été
hospitalisé à la suite de blessures superficielles qu'il se serait donc
infligées lui-même. Il était de nouveau entendu pour comprendre ce qui l'a mené
à inventer ce récit, a ajouté le parquet.
TERMINUS.
En Serbie, un frère et une sœur son morts dans l’explosion d’une mine
anti-personnelle vraisemblablement posée par leur père quinze ans auparavant
aux abords du village où ils vivaient.
11 commentaires:
oui le monde tel qu'on le vit (j'aime le coupe BCBG très Lubéron…)
ah ! enfin des nouvelles qui me réjouissent ! pas toutes mais presque ... (la future maison du joueur de foot me donne envie de vomir )
la vie est parfois rigolote ! pas toujours mais presque ...
tout ça, tout ça.... Tu te jettes dans la Sorgue après, Chris? Pour moi ce sera scarification ce soir.
Papi René
Ça va aller mieux, T'inquiète, Papy...
Excellente ! celle des bécébèges :D
L'instit d'Aubervilliers va finir ses jours à La Verrière, ou du moins y passer quelques années.
Certains parents d'élèves de cette école doivent avoir rétrospectivement des frissons dans le dos en pensant que leur mômes auraient pu être victimes d'une crise de folie de cet enseignant.
Par ailleurs, je trouve étrange que les responsables de cet établissement et les forces de l'ordre aient pu croire un instant au fait qu'un terroriste ait réussi à s'introduire dans l'école (au point que la ministre se soit déplacée sur les lieux de la soit-disant agression) malgré la consigne primordiale du plan vigipirate : l'identité des personnes étrangères à l'établissement est systématiquement vérifiée. Cherchez l'erreur... Soit l'établissement est mal protégé, soit les consignes de sécurité ne sont pas respectées. Dans tous les cas de figures, ça craint !
@ Tilia Ah oui, ils étaient bien ces quatre là!
Ben justement c'est peut-être pour ça que les soupçons se sont portés sur lui assez vite...
Bon, à ce que je lis, tu as besoin d'un petit St Julien ! (dixit G. Morel...(et pourquoi a-t-elle disparu,cette petite merveille ?))
@ M Un jeroboam fera l'affaire...
Disparue d'où?
Je conseillerai bien cette fumeuse de pipe BCBG et frustrée, de se mettre en relation avec un autre frustré de ton catalogue, le footeux de Londres. Suis sûr qu'elle lui remonterait le moral et qu'elle ferait des économies de tabac. Quel joyeux Noël !
Amitiés.
Roger
@ Roger Je n'avais pas pensé à les associer mais maintenant que tu en parles... Ce ne serait pas une mauvaise idée... Le même monde sans doute!
@ Brigitte Célerier Dans leur fausseté, ils étaient vrais ces deux là!
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