10 mai 2009

Ah! Ah!



(Alphabet Bête: Le A).

Ange, atrabilaire acupuncteur à ses heures, attrapa l'avortone antique, alpiniste antipape, Luce et alluma l’ancienne aversion qu’il avait avec l’arche d’Alliance et les algarades algiques. Hélas, la hautaine attirance d'agnostique affiché lui ravala l’appétence aperçue entre le ciel et lui. Advienne que pourra, l’argument atteignit sa pâle affluence, l’auteur s’en prit à une autre ange, elle, et lui adressa :"Ange, mon ange, arrive, amène toi, d’abord amure, amuse-moi, amplifie l’amour m’usant qui m’anime, car devant toi je m’amuï, je m’ose l’azimut."
C’est à la St Armand ou à la St Gaspard, ma caille que j’avance l’axis désaxé, adventiste apitoyée ! Lança-t-il, agité comme un asticot aztèque à l’adjointe approbatrice, s’apprêtant à admonester l’acrobate allumeuse de vraies lampes à alcool. Va et je t’apprivoise en chantant un aria ardu à apprendre ! L’autre, bâtie comme une armoire à armagnac une aristocrate d’Artigues, une agrégée d'Anvers, arménienne par sa mère, adjudante d’armada, arlequine d’armurerie, en arrêt, le retint à mare, sans acrostiche accumulé.
Arranger l’ange en archange, arpète aguichant? La critique est aisée mais l’arrêt difficile.

L’ardent arpenteur d’acres, marcheur ahanant dans l’armée, ses arpions arqués, son arquebuse arrachée, les arpèges arrondis par un artifice d’arnaqueur, atomisa l’aube blanche et ses deux ailes attachées. Sur l’atoll de Mururoa, auprès d’Amélie l'américaine sans bar atmosphérique tu iras, si c’est comme ça, ton audace à l’aune de mon aumône : averti, tu seras ! En terre Adélie, tu iras! Ton aventureuse Aura abîmée tu auras ! L’addition auparavant tu paieras ! Autruche avachie, tu deviendras ! Une auréole St Augustienne, attentiste, tu mettras ! A ton autopsie tu assisteras ! Alors, s’avançant vers l’aval comme une avalanche alanguie, en marmelade et capilotade, l’angelot, ahuri et avec lui, tous les anti du monde, avides d’ avion, se rêva avocette azotée avant d’assister amorphe à son avatar avorté. Aigre ça vira.

A vau-l’eau, mon avenir ! Affolant cet aveuglement atroce ! Un avocat avenant, un avocaillon agricole, pour effacer l’article qui me hante et m’avilit ou je m’avine à vie afin de m’affranchir de cet avilissement avarié !
Attaqué, entamé, aveuglé, l’ange déchu s’en alla pour une décade aux artificiels paradis, son car d’artichauts azuré et entama à hue et à dia un pater et dieux avé pour sa ... Maria.

Aïe, l'autre, son appétence pour l’épeautre appâtée se dit: Ah, un air annuel à nous: Aïda! Un an de spectacle sans anthrax, l'antre de la Scala, décalé en cadence décadente...

Affligeant...d'amènité aliénante... (en aparté, en souriant...) "d'aquitaine"... Quel allant quand même! Il fit, anéanti, par l'antienne, allégeance à tous les autres anges de l'au-delà même de l'océan. Amusant, n'est ce pas?

Dis, là haut, de quel article parles-tu?

___ Celui auquel on est... L'article de l'amour... Désarmé.

___ Pourquoua? Amateur? Eclairé? Ou dadaïste à cran?

Nan, nan, amoureux... A quoi? N'importe nawak...T'as fini avec l'Afghan? Fais passer...

2 commentaires:

amichel a dit…

Ah
Ben
C'est
Des
Effarantes
Folles
Histoires
Inouies
Jasantes
Kermesses
Langagières
Mélanges
Nébuleux

Passent
Quelques
Raretés
Sémantiques
Tant
Ubuesques
Variées
Witzs
Xylophonés
Ysopets
Zwanzés

chri a dit…

Vous zêtes le meilleur, Amichel!

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