24 mai 2015

Sans toit.

Pour Les impromptus littéraires de la semaine. Le texte devait évoquer: il est tout à coup 4 heures du mat et vous êtes sans clé, sans bagnole, sans toit et sous la pluie.  C'est devenu:



Pluie verticale dans la pâleur de l’aube.  Le cœur vide. Mon avenir sans toit. À la rue... Pas reluisante, depuis que  je t’ai perdue, ma clé.


11 commentaires:

Tilia a dit…

Bravo ! bien fignolée depuis sa première version, l'histoire de l'imprenable bergerie ardéchoise dont la clé est restée à Paris.

chri a dit…

@ Tilia :-)!!!

odile b. a dit…

Pris la clé des champs...

Laurence Chellali a dit…

Efficace et dans le mille !

chri a dit…

@ Odile La clé d'escampette?

@ Laurence Lapidaire, même :-)

Brigitte a dit…

Concis et précis !

odile b. a dit…

Sans toi(t) ni loi ?
La belle aubaine, droit devant soi : le Café-Bar-Brasserie... "La Liberté" !!!
Photo choisie exsseprès ?

chri a dit…

@ Odile Ah oui ekeusprès :-)

odile b. a dit…

La "clé d'escampette" : c'est joli, ça !
Comme pour s'enfuir aux champs...
Décamper pour se sauver, fuir, échapper à...
Un billet court qui en dit long.
Yapa à dire : on a quand même de jolis mots, dans cette langue !

chri a dit…

@ Odile Je l'aime aussi ce : Prendre la route d'escampette...

odile b. a dit…

En catimini, par la porte dérobée, à la sauvette
ou carrément, d'un bond, en sautant par la fenêtre...
(ça nécessite de bonnes gambettes...)

Publications les plus consultées