Pluie
verticale dans la pâleur de l’aube. Le cœur
vide. Mon avenir sans toit. À la rue... Pas reluisante, depuis que je t’ai
perdue, ma clé.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Publications les plus consultées
-
Comme la plupart de tous les autres matins, excepté le samedi, jour béni du repos, d'un brunch au bar de L'étoile après le rituel ...
-
« Bonjour tout le monde » a-t-il lancé à la cantonale (il avait parfois de légers problèmes avec certaines consonnes) en entrant dans les l...
-
Si tu n’avais rien à te reprocher tout était parfait. Si tu n’avais pas pensé de travers, si tu ne t’étais pas éloigné de la route, quelle ...
-
Les figuiers ont trempé le bout de leurs doigts dans les pots de peinture verte, Le jour est réveillé par le boucan des bouquets de mésa...
-
Au début, et pendant des mois, il n’a vu que sa main. La gauche. Elle tenait une carte bleue et la lui tendait. Elle ne levait même pas l...
11 commentaires:
Bravo ! bien fignolée depuis sa première version, l'histoire de l'imprenable bergerie ardéchoise dont la clé est restée à Paris.
@ Tilia :-)!!!
Pris la clé des champs...
Efficace et dans le mille !
@ Odile La clé d'escampette?
@ Laurence Lapidaire, même :-)
Concis et précis !
Sans toi(t) ni loi ?
La belle aubaine, droit devant soi : le Café-Bar-Brasserie... "La Liberté" !!!
Photo choisie exsseprès ?
@ Odile Ah oui ekeusprès :-)
La "clé d'escampette" : c'est joli, ça !
Comme pour s'enfuir aux champs...
Décamper pour se sauver, fuir, échapper à...
Un billet court qui en dit long.
Yapa à dire : on a quand même de jolis mots, dans cette langue !
@ Odile Je l'aime aussi ce : Prendre la route d'escampette...
En catimini, par la porte dérobée, à la sauvette
ou carrément, d'un bond, en sautant par la fenêtre...
(ça nécessite de bonnes gambettes...)
Enregistrer un commentaire