Qui que je croise, quoique je vois
Tout me ramène à toi
Quoique je fasse, quoique je bois
Tout me détourne de moi
Une cheville aperçue
Une ombre dans la rue
Le sourire d’un passant
Un vol de migrants
Tout me ramène à toi
Quoique je fasse, quoique je bois
Tout me détourne de moi
Une cheville aperçue
Une ombre dans la rue
Le sourire d’un passant
Un vol de migrants
Une robe de petite fille
Une perle qui brille
Ce diamant sur un cou...
Je me souviens de tout
Une perle qui brille
Ce diamant sur un cou...
Je me souviens de tout
Un baiser entre eux deux
La flamme folle d’un feu
Ces mains là qui se croisent
Leurs sourires qui pavoisent
L’arrondi d’une épaule
Des doigts qui se frôlent
Une odeur d’herbe coupée
Je n’arrive à rien oublier
La flamme folle d’un feu
Ces mains là qui se croisent
Leurs sourires qui pavoisent
L’arrondi d’une épaule
Des doigts qui se frôlent
Une odeur d’herbe coupée
Je n’arrive à rien oublier
Un bain dans un lac
Une parole qui claque
Un soupir expiré
Une date annoncée
Une balade en campagne
Le tombé d’un pagne
Le souriant d’une réplique
Un savoir qui s’explique
Le dessin d’une jambe
Une parole qui flambe
La force d’un je veux
Une coupe de cheveux
Une parole qui claque
Un soupir expiré
Une date annoncée
Une balade en campagne
Le tombé d’un pagne
Le souriant d’une réplique
Un savoir qui s’explique
Le dessin d’une jambe
Une parole qui flambe
La force d’un je veux
Une coupe de cheveux
Un coeur sur un arbre
Un serment sur le marbre
La chaleur d’un été
Ton parfum entêté
Le bronze d’une peau
Une colline là-haut
Une bride de chaussure
Les courbes d’une écriture
Un serment sur le marbre
La chaleur d’un été
Ton parfum entêté
Le bronze d’une peau
Une colline là-haut
Une bride de chaussure
Les courbes d’une écriture
Des langueurs en soirée
Une douceur désirée
La naissance d’un sein
L’étiquette d’un vin
L’espérance d’un: quand
Le regret d’un: pourtant
La promesse d’un: mais
Le tranchant d’un: jamais
Une douceur désirée
La naissance d’un sein
L’étiquette d’un vin
L’espérance d’un: quand
Le regret d’un: pourtant
La promesse d’un: mais
Le tranchant d’un: jamais
Ce que je dis ce que j’entends
Ce que je lis, ce que j’apprends
Ce que j’espère et j'entreprends
Sans que je sache pourtant
Le comment du pourquoi
Tout m'éloigne de moi...
Où que j’aille où que tu sois
Ce que je lis, ce que j’apprends
Ce que j’espère et j'entreprends
Sans que je sache pourtant
Le comment du pourquoi
Tout m'éloigne de moi...
Où que j’aille où que tu sois
Tout me ramène à toi…
7 commentaires:
Normal. Impossible d'éviter ça.
En faire du beau.
Manque plus que la musique pour faire une belle chanson ;-)
Bon flonflons, cher Chri.
Tout semble tellement évident quand on vous lit... IImpression que j'aurais pu l'écrire ...ce doit être çà le talent ! Et pourtant, non, bien sûr, il n'y a que vous pour dire les choses comme çà.
Et puis, je suis d'accord.... Ou est la musique !
C'est trop bien Chrscot, trop bien
@ Michel, Tillia, Véronique: Merci à vous!
C'est scandé, rythmé, superbe !
"Les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa"...
Joli, le feu dans la cheminée ! C'est du houblon, avec la pivoine ?
Il faudrait ne jamais avoir à lire cela. Pourtant, on y perdrait beaucoup.
Slev
@Odile: C'est une fleur artificielle... Merci...
@Slev: L'été c'est remontrage...
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