27 février 2009

Jour de chien.























 



"La névrose est un pis-aller mais ce pis-aller est le seul qui permet d'écrire" .
Roland Barthes. Le Plaisir du texte, 1973.


Si l'homme, qui venait de monter dans la voiture de tête avait su ce qu'allait être la suite de sa journée, il aurait, sans doute, choisi de mourir sur place.
Enfin, moi, à sa place, c'est ce que j'aurais fait.
Il y était entré depuis trois ou quatre stations sur la ligne treize. Je ne l'avais pas remarqué quand il était entré. J'aurais dû. Il n'avait rien de remarquable. Ah si, il n'était pas très grand. Pour son âge, il n'était pas très grand. Il avait cherché très vite à s'asseoir, il n'aimait pas rester debout au milieu des autres. Son regard leur arrivait au milieu de la poitrine et ça le désolait. Il faisait attention toujours à ces trucs là. Sur un trottoir, par exemple, il marchait toujours du côté le plus proche des immeubles, les trottoirs sont en pente vers les caniveaux... Dans un bar, il ne restait jamais debout à un comptoir. Boire un café les bras levés, merci... Et pourtant, dans sa vie, il lui était arrivé d'être avec des femmes plus hautes que lui et ça, il avait aimé. Il n'en avait pas été affecté. Il en avait été fier, même. Sans doute davantage parce qu'elles étaient plus jolies que grandes. S'il avait songé plusieurs fois à se laisser pousser les jambes, il s'était toujours refusé à porter des talonnettes. Il voulait bien être plus grand, mais il ne fallait pas qu'on voit l'artifice. Ca marchait pour les cheveux... Il avait la cinquantaine moyenne, environ. Enfin, il se trouvait sur le versant largement descendant de la pente. Il commençait à bien perdre ses cheveux sur le dessus, ça se voyait à la casquette qu'il gardait vissée sur le crâne. Il avait dû arrêter de fumer depuis quelques temps déjà. Il avait bien fait pour ses poumons mais pas pour son estomac, enfin pas pour son ventre qui s'était mis à enfler à tel point que ça le gènait vraiment. Ca, on le devinait à la veste bien trop grande pour lui dans laquelle il se cachait. Il s'était assis sur les strapontins près des portes, légèrement penché sur lui-même en ne regardant que ses chaussures. Il ne cherchait jamais à se montrer, se mettre en avant. Si on l'avait connu davantage, on aurait su qu'il commençait à avoir envie de pisser toutes les deux heures, qu'il ne s'en sortait plus sans une paire de lunettes, qu'il avait mal partout dès le réveil et que dès qu'il picolait un peu trop, le soir, il lui fallait tout un lendemain pour se débarrasser du mal aux cheveux. S'il était vérifié que la vieillesse est un naufrage, disons qu' il commençait dangereusement à en longer les côtes et en apercevoir les premiers mauvais récifs...
Tout au long de ses années, maintenant écoulées, il avait pris de belles baffes, il avait plus appris à perdre qu'à gagner, mais autant que tous les autres. Ni plus ni moins. Il vaut mieux l'apprendre assez vite, perdre est quand même une de nos occupations favorites. Le temps, les amours, les illusions, l'énergie etc etc...
Il avait aussi eu droit, Grâce à Dieu, ou à ses pairs, à de merveilleux bonheurs... Comme tout le monde, il s'en était sorti plus ou moins gaillard, plus ou moins brillant, plus ou moins debout mais pour l'instant, alleluïa,encore vivant.
Ce qui pouvait le sauver un peu, physiquement, c'était son regard. A force d'entendre qu'il était pas mal, il avait fini par se dire qu'il y avait peut être un peu de vrai, qu'on ne lui envoyait pas ça seulement par gentillesse ou, pire, par gentillesse... Il se souvenait aussi avec tendresse qu'on lui avait dit une fois, voilà longtemps qu'il avait la peau douce... Ah, il lui arrivait, malgré son air de cocker dépressif de bien aimer rigoler et de savoir se foutre de lui-même... En vrai, ça lui sauvait souvent la vie.
Il aurait dû sentir la très belle brune qui était venue s'installer à ses côtés. Il avait dû sentir cette bombe sulfureuse, mais il n'avait pas levé les yeux vers elle. Elle était tout en noir, du sol au plafond. Bottes noires en peau à talons assez hauts, jambes noires, manteau, gants, large sac en bandoulière noirs, lunettes et foulard sur ses cheveux, noirs. Une corneillle élégante et racée. Elle, elle jetait fréquemment des regards autour d'elle comme pour vérifier qu'elle n'avait pas été suivie. C'est à ce moment que je l'ai vue nettement sortir un portable de son fourre tout puis d'un geste vif de sa main droite, elle l'a glissé dans la poche béante de la veste de son voisin. Et, dès que la rame a ralenti, elle s'est levée pour disparaitre à l'ouverture des portes , avalée par les escaliers. Lui, le type, le petit vieux presque chauve et bedonnant, n'avait rien vu, rien senti. Il avait juste mieux respiré quand la femme avait levée le camp. Deux stations plus tard, alors qu'il clouait son regard au sol sur une vieille galette de chewing-gum sale, un téléphone a sonné pas loin de lui. Une sonnerie comme celles des anciens postes en bakélite gris, ceux à numéros qu'on faisait tourner avec l'index. Il s'est déplié d'un bond comme un diable qu'on sort du sommeil. Il a regardé partout autour de lui en priant que le truc qui sonnait ne soit pas dans sa poche. Dieu, à son habitude, est resté sourd à sa prière... Il l'a sorti de sa veste comme on se saisit avec dégout d'un pansement qui a déjà servi.
Il l'a porté à son oreille gauche, celle qui entendait encore pas trop mal. Il a écouté, longuement, en se décomposant au fur et à mesure avec intensité. Il a même sorti un petit stylo en alu venant droit du japon qu'il trimballait toujours avec lui au cas où... Il a noté quelques trucs sur un bout de papier qu'il avait dans la poche. Il a regardé le trajet de la ligne pour savoir où il en était. Puis, il s'est levé. Il pesait deux fois plus lourd qu'en entrant. Quand la rame est entrée en gare et s'est arrêtée, les portes se sont ouvertes.
Alors, comme à regret, une vraie frayeur dans le regard il s'est arraché de la voiture. Sur le quai, son regard affolé a croisé le mien. Je l'ai fixé.
« Putain de chiotte ! » C’est d’emblée ce que s’est dit ce très grossier personnage. Il a poursuivi : « Bordel, mais qu’est ce que c’est que ce truc de merde qui sonne dans ma veste ? Et ce mec, en face qui me dévisage depuis que je suis monté, il me veut quoi, ce vieux con bedonnant ? Ils ne vont pas me foutre la paix, aujourd’hui, tous ces connards ? »
Voilà ce que s’était précisément dit le type dans la rame, quand il avait senti un appareil vibrer dans la poche, lui qui, justement, n’avait jamais voulu entendre parler de ces engins, en dehors de son boulot. Il vérifiait que cette putain de journée continuait sur le même chemin que celui pris au réveil. En effet, dès l’aube, l’affaire s'était mal engagée. Il s’était réveillé en retard, très en retard à cause qu’il s’était couché dans la nuit, à pas d’heure. Deux, trois collègues, il ne se souvenait plus étaient passés boire un verre. Enfin, un verre, façon de parler... Disons qu'ils avaient bien levé le coude et donc ce matin, ils avaient, tous très mal aux cheveux... Depuis que le réveil avait sonné, il avait dû cavaler pour rattraper le temps perdu et s’assurer définitivement que ça ne se fait pas. Malgré la plus grande des volontés. Il s’en était tout à fait convaincu quand il avait laissé tomber le bol plein à ras bord de lait et de céréales qu’il allait enfourner dans le micro-ondes. Ça avait fait une jolie flaque blanche teintée de brun sur le carrelage de la cuisine. Esthétique, mais malvenue. Il avait serpillé le tout vite fait et foncé dans la chambre de sa fille pour la réveiller à son tour, après avoir préparé un deuxième bol. Elle avait marqué le coup et passé beaucoup de temps à ronchonner en s’habillant de travers. Pour tout arranger, elle avait intensément refusé de se coiffer. Il ne lui en a pas voulu. Du reste, ne lui en voulait de rien. La culpabilité? Il savait, en plus, qu'il s'en était fallu d'un cheveu pour qu'il ne la voit que lors des vacances scolaires. Il avait réussi à arracher une semaine sur cinq alors que la juge et son boulot lui en promettaient beaucoup moins. Aussi, quand ils étaient ensemble, il lui passait tout ou presque, en sachant que ce n'était pas bien d'agir ainsi. Mais ce n'est pas parce qu'on sait certains trucs qu'on arrive à les appliquer, ce serait trop simple. Lors de cette fameuse bataille qu'ils avaient livré tous les deux, les deux grands couillons, pour sa garde, en sachant qu'ils seraient, fatalement, et l'un, et l'autre perdants, il avait aussi consenti à déménager pour habiter dans la même commune que son ex-femme même si ce domicile lui valait une bonne heure de métro chaque matin. "C'est pas une preuve d'amour ça?" avait-il lancé à la Jaf qui l'avait regardé d'un sale oeil. La juge n'avait pas relevé, elle n'aimait pas les flics et dès qu'elle pouvait en emmerder un, elle ne se génait pas. Fut-ce aux dépens d'une gamine dont les parents se séparent. C'était banal à pleurer. On peut être juge et con. Et ça, si ce n'était pas joli, joli, c'était humain.
Il avait profité d’un petit moment de répit pour appeler le 36 et prévenir qu’il serait en retard. Il avait copieusement envoyé se promener le gars qu’il avait eu au bout du fil et qui lui reprochait ce retard. Il savait combien le service était, depuis plusieurs semaines, sur les dents, avec le ou la dingue qui se baladait en ville, menaçant aux sorties des écoles, des facs et des lycées une seringue à la main. Trois adolescents avaient déjà été piqués en profitant des cohues de sortie et tout le monde commençait à sérieusement s’agiter autour de cette affaire… Les journalistes leur tournaient autour comme des lionnes au régime rôdent aux abords d’une clinique pour buffles malades et, pour tout dire, des coups de fil commençaient à tomber des ministères à intervalles réguliers comme autant de coups de pompes à air dans des boyaux dégonflés. Les vacances à venir étaient remises à plus tard et certains avaient déjà renoncé à leurs locations.
On avait commencé à lancer des recherches vers les enseignants en colère, les chercheurs en pétards, les infirmiers en rogne, les toubibs rouscagnants... Il faut dire qu'en ce moment, dans ce pays tu avais plus de chance de tomber sur un type voyant rouge que sur un pinson joyeux.
Alors, c’est cet homme à cran qui a saisi un portable sonnant de sa poche. En sortant de la rame, il a fixé une dernière fois le visage du petit chauve qui le regardait comme pour le photographier et l’enregistrer dans son dossier visages. On ne sait jamais, ça peut resservir s’était-il dit. Il a juste répondu : « Oui… » et puis, il a écouté ce que la voix lui racontait en se masquant. C’était à propos de l'histoire des seringues, bien sûr. Elle lui a donné les noms de deux lycées et d’une école primaire (les endroits où la quinzaine passée, des gamins avaient été touchés...) puis, lui a parlé avec presque douceur de sa fille, de son prénom, de l’école où elle allait, de l’endroit où elle se rendait le mercredi après-midi pour la danse, des prénoms de ses meilleures amies, de l'adresse de son ex-femme, le tout sans qu’aucune menace ne soit prononcée. Elle lui a demandé de ne pas balancer le portable, qu’il pourrait servir à nouveau. Puis elle lui a fermement ordonné de noter ce qui allait venir. Ce qu’il a fait en pestant sur le quai et sortant de sa poche, un bout de crayon noir. Puis il était allé s’asseoir sur les bancs de plastique rouge. On devrait dire s’affaler plutôt que s’asseoir. Il avait besoin de reprendre des forces, de se ressaisir, de se reconstituer. Il s’était posé sans s’en apercevoir à côté d’un SDF qui sans le regarder lui a juste dit en souriant : « Des emmerdes ? T’inquiète pas trop, ça peut toujours être pire… On a du mal à le penser, mais crois moi, mon pote et je sais de quoi je parle… »
Il ne lui avait pas envoyé: "Et si tu fermais ta gueule?" mais il l'avait pensé très fort.
Puis, il a relu le bout de papier froissé sur lequel il avait noté ce que lui avait dicté la voix… Il était à deux doigts de l’effondrement absolu. Avec effroi, il a pensé à sa fille et à cette menace insupportable qui, désormais, planait au-dessus de leurs têtes comme une buse sournoise et vigilante, prête à plonger…
Le savait-il, ce sinistre qu'il était, d'ores et déjà, condamné?
Puis, peu à peu, l’énergie lui est revenue. Elle s’est glissée en lui comme un chocolat chaud dans le corps d’un alpiniste congelé. (Je suis d'accord, il m'arrive parfois de tirer les métaphores par la queue de cheval…) Il a filé un billet de cinq euros au philosophe voisin qui l’a remercié d’un "Monseigneur est trop bon..." plutôt moqueur. Il s’est levé et s’est engouffré dans les couloirs résonnants. Quand il s’est approché de l’escalier final, celui qui montait vers la lumière, il a reçu une paire de baffes glaciales, un courant d’air cinglant, une gifle givrée. Il a souri . Ça lui a rappelé les deux années qu’il avait passé à se geler les fesses durant les hivers terribles de la provence et sa région. Il n’y était allé qu’en été, en vacances et quand il lui avait fallu prendre un peu d'air, il avait demandé une mutation pour ce coin. Nom de Dieu ce qu’il en avait bavé! Un régiment de petits gris! Le chaud et ses acolytes mettaient les voiles vers la fin Octobre, ils devaient aller passer l'hiver en Afrique du sud, et ils ne revenaient s’établir dans les parages que vers la fin de fin Mars. Cinq mois à vivre avec des pelures sur le dos comme des oignons frileux, des écharpes autour des cous serrés, des bonnets sur les têtes vissés. Cinq mois à marcher les dos courbés, les têtes baissées, contre un vent furieux d’une force à décoiffer les lombrics et qui ne s’arrêtait pratiquement jamais de souffler à part, peut être pour regonfler ses joues. Jusqu’aux arbres qui en poussaient penchés, jusqu'aux fruits des murs des maisons qui marquaient le coup. Quand on sortait, on finissait par choisir ses itinéraires, ses boutiques, ses bars en fonction des abris. Il arrivait même qu'on ne sorte pas. Dans les rues, des ours blancs n’auraient pas tenu quinze jours… Du reste, on n’en croisait jamais dans les villages. Tout ça pour dire que le froid, bien qu’il le connaisse l’avait surpris au pied de cet escalier. Il a relevé le col de sa veste et il a attaqué les marches. En haut, il a débouché dans le gris, le gris de Paris. Paris est une ville grise. Magnifique, mais grise. Avec cent mille nuances de gris : le luisant d’après les pluies, le mat des bâtiments, celui des trottoirs, celui des ciels plombés, celui des matins blêmes, celui des nuits éclatantes, celui des visages des passants pressés… Il aimait cette ambiance et malgré la fatigue, malgré les emmerdes, malgré l’à vivre, il prenait toujours dix secondes pour en inspirer une belle goulée. En sortant de la bouche à mauvaise haleine du métro, il devait traverser la Seine pour entrer dans les bureaux.
A chaque fois, il ralentissait le pas et prenait son temps. Ce pont c’était une frontière. Il regardait autour de lui, sur l’eau noire. Parfois, il s’arrêtait et s’appuyant sur le parapet, il regardait, vers l’ouest, vers la Bretagne sud et la grève de Port Manech. Un paradis protégé, un port minuscule comme un creux de deux mains, une plage comme une joue à embrasser, toute entière à l'abri des violences et des agressions. C'était là qu'il avait amarré son bateau en attendant de pouvoir faire de l’ouest… sans plus jamais s’arrêter. Les quelques mouettes qui riaient en planant au-dessus de sa tête en étaient les messagères de première ligne. C’est un homme ragaillardi qu’il a repris son chemin en accélérant le pas. C'est en bondissant qu'il a traversé la rue vers l’entrée du 36.
Il n’a ni vu, ni senti, ni entendu la camionnette de CLINE une entreprise de blanchissage, arriver. Elle l'a attrappé sur le haut de la hanche gauche et l'a envoyé dinguer sur le trottoir d'en face où on l’a ramassé, en vrac, le bassin aplati comme une galette au sarrazin… Aurait-il tout fait pour l’éviter ? Lui qui avait passé sa vie à essayer de débarrasser la ville de ses taches les plus voyantes, c’est cette camionnette là qui l’écrabouillait. On peut, au moins reconnaître, que la vie s’y entend sacrément en putains de pieds de nez.
Un peu avant de mourir, il a repensé au dingue à la seringue et il s'est dit dans un demi-sourire: "Autant chercher une aiguille dans une boite de soin..."
Quai de la Rapée, à la morgue, on a donné à sa fille, qui avait tenu à venir le voir, un petit sac plastique dans lequel on avait balancé le peu d’affaires qu’il avait sur lui. C’est elle qui a trouvé, glissé dans son portefeuille, un bout de papier informe, c’est donc elle qui a lu les, sans doute, derniers mots qu’il avait écrit, ce matin là sur un quai du métro. Elle n'a rien compris du tout à ce qu'elle a lu mais elle n'en a parlé à personne.
A l’instant de la mise en bière, à laquelle elle avait insisté, contre le monde entier, pour en être, elle s’est approchée du corps et elle a glissé le papier dans une des poches de la veste du costume neuf dont on avait déguisé son père…
Elle garderait ça entre elle et lui.
Pour longtemps.

13 commentaires:

Anonyme a dit…

Pff ! C'est même pas vrai ! Ca n'arrive que dans les films de Claude Sautet, ça ! Ou bien alors c'est qu'il n'est pas si chauve ni si bedonnant quoique vieux .
C'est joliment troussé néanmoins.
V.

chri a dit…

V, je jure sur mon stylo en alu que ça s'est passé presque comme je l'écris!

Véronique a dit…

un agent secret en mission ? une taupe que l'on réveille ?
allez Chriscot, racontez nous la suite !
et puisque vous ne la connaissez pas et bien INVENTEZ LA !
elle est trop bien votre histoire ...

Anonyme a dit…

C'est ce que je disais : tout l'écrivain est dans ce "presque"!
V.

Anonyme a dit…

Tu ne l'as pas suivi, mais ce type tu viens de croiser pour la 3ème fois en rentrant chez toi, et dont la silhouette de bucheron canadien te dit vaguement qque chose ... c'est pas lui que tu as vu embrayer le pas de la brune quand elle descendue de la rame ?
Est-ce que ça n'aurait pas à voir avec ce petit bout de papier que tu ramassé derrière le petit vieux après que "son regard affolé à croisé le mien" ?
Il serait temps d'ailleurs de nous dire ce qu'il y a d'écrit dessus.

Slev

Anonyme a dit…

Oui, je le sais ce qui est écrit dessus mais est-ce-que je le dirai, un jour?

Je pensais au fric, moi, dans les besoins du moment... Tu sais ce truc qui va qui vient...
Chriscot

Anonyme a dit…

Vous fesez ch.. Quand on est capable d'inventer le début, on est capable d'inventer la fin. Au boulot !

Véronique a dit…

bien dit " anonyme " ! au boulot Chriscot

Anonyme a dit…

J'y vais Marie, j'y vais, deux secondes...

coquelicot a dit…

Des secondes à rallonge chez vous Chriscot ?
Allez hop la suite et fissa encore !
C'est chouette ici on renoue avec les codes rigolo (fullism ^_^ ... une traduction pour Marie pitêtre?)

chri a dit…

Vous vous y mettez aussi Coq?
J'y travaille, j'y travaille!!!

Mic a dit…

biscot

chri a dit…

@ Mic: ??????????

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