Brice, vous permettez que je vous appelle Brice?
Je m’autorise à vous dire que, de la part d’un homme au pouvoir, prêt à réformer comme un dingo, prêt à tracer le sillon, creuser la voie, filer le chemin, poser les rails, je trouve votre dernière proposition... comment dire sans être désagréable? Molle du genou…
Vous proposez gentiment la retraite à soixante sept ans… SOIXANTE SEPT ans…
Alors que vous aviez l’occasion unique d’envisager de supprimer… le concept même de retraite et qui sait, avec le soutien fièvreux de Madame Parisot et de ses amis, d’y arriver…
Voilà qui aurait eu de l’allure, voilà une mesure dont on se serait souvenu, une mesure qui vous aurait fait entrer dans l’histoire…
Brice, l’homme qui a supprimé la retraite…
Au boulot, pour les rares qui en ont encore, au boulot jusqu’au bout… Hasta la muerte!
Tout n’est pas perdu, allez, un peu d’audace, Brice! Se réveiller avant que ce soit fait fait...
3 commentaires:
c'est de Brice "hors du feu " dont vous parlez ????
coquelicot
Lui même!
Et cette rédorme, on l'appelerait Nice de brice.
(J'en vois une sur le canapé qui vote "pour" des 4 pattes).
Slev
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