Ange, atrabilaire acupuncteur à ses heures, attrapa l'avortone antique, alpiniste antipape, Luce et alluma l’ancienne aversion qu’il avait avec l’arche d’Alliance et les algarades algiques. Hélas, la hautaine attirance d'agnostique affiché lui ravala l’appétence aperçue entre le ciel et lui. Advienne que pourra, l’argument atteignit sa pâle affluence, l’auteur s’en prit à une autre ange, elle, et lui adressa :"Ange, mon ange, arrive, amène toi, d’abord amure, amuse moi, amplifie l’amour qui m’anime, car devant toi je m’amui, je m’use l’azimut." C’est à la St Armand ou à la St Gaspard, ma caille, que j’avance l’axis désaxé, adventiste apitoyée ! Lança-t-il, agité comme un asticot aztèque à l’adjointe approbatrice, s’apprêtant à admonester l’acrobate allumeuse de vraies lampes à alcool. Va et je t’apprivoise en chantant un aria ardu à apprendre ! L’autre, bâtie comme une armoire à armagnac, une aristocrate d’Artigues, une agrégée d'Anvers, arménienne par sa mère, adjudante d’armada, arlequine d’armurerie, en arrêt, le retint à marre, sans acrostiche accumulé. Arranger l’ange en archange, arpète aguichant? La critique est aisée mais l’arrêt difficile.
L’ardent arpenteur d’acres, marcheur ahanant dans l’armée, ses arpions arqués, son arquebuse arrachée, les arpèges arrondies, artifice d’arnaqueur, atomisa l’aube blanche et ses deux ailes attachées. Sur l’atoll de Mururoa, auprès d’Amélie l'américaine sans bar atmosphérique tu iras, si c’est comme ça, ton audace à l’aune de mon aumône : averti, tu seras ! En terre Adélie, tu iras! Ton aventureuse Aura abîmée tu auras ! L’addition auparavant tu paieras ! Autruche avachie, tu deviendras ! Une auréole augustienne, attentiste, tu mettras ! A ton autopsie tu assisteras ! Alors, s’avançant vers l’aval comme une avalanche alanguie, en marmelade et capilotade, l’angelot, ahuri et avec lui, tous les antis du monde, avides d’ avion, se rêva avocette azotée avant d’assister amorphe à son avatar avorté. Aigre ça vira.
A vau-l’eau, mon avenir ! Affolant cet aveuglement atroce ! Un avocat avenant, un avocaillon agricole, pour effacer l’article qui me hante et ma vie lie ou je m’avine à l'envie afin de m’affranchir de cet avilissement avarié ! Attaqué, entamé, aveuglé, l’ange déchu s’en alla pour une décade aux artificiels paradis , son car d’artichauts azuré et entama à hue et à dia un pater et dieux avé pour sa ... Maria.
Aïe, l'autre, son appétence appâtée se dit: Ah, un air annuel à nous: Aïda! Un an de spectacle sans anthrax, l'antre de la Scala, décalé en cadence décadente...
Affligeant...d'aménité aliénante... (en aparté, en souriant...) "d'Aquitaine"... Quel allant quand même! Il fit, anéanti, par l'antienne, allégeance à tous les autres anges de l'au-delà même de l'océan. Amusant, n'est ce pas?
Dis, là haut, de quel article parles-tu?
___ Celui auquel on est...l'article de l'amour...Désarmé.
___ Pourquoua? Amateur? Eclairé? Ou di-agnostique à cran?
Nan, nan, amoureux...
15 commentaires:
Belle image !
j'ai croisé l'avocat avenant avant vous, tout avachi m'a-t-il dit avec un peu d'amer tu me le recopieras à moins d'une heure !
merci pour ce feu !
vérificateur : fautt
Là c'est plus du triple AAA c'est un feu d'artifice (image bien choisie)- c'est bon, on peut encore en perdre quelques uns, il reste du stock !
Des papous dans la tête sur le papier,
ou plutôt sur le clavier, quel pied !!!
@Tilia Des pas pous sur le pas pied? C'est pas coule!
j'ai pas tout compris Chriscot !
à part les "a,à, ha, ah," bien sûr ...
demain les B ?
@ Véronique: Le but c'était de s'amuser en écrivant un texte avec le plus de A possible! Juste s'amuser.
J'ai fait avec tout l'alphabet mais je l'ai déjà montré ici. J'ai ressorti le A, aujourd'hui à cause de sa perte de ces jours derniers dont on nous rebat les oreilles...
Que d'A, que d'A... On s'y noierait presque ! Finalement c'est mieux sans. Non ?
@M. Mieux je ne sais pas mais pour nous ce n'est pas pire!!!
S'il fallait noter cet Afghan, je crois que son A ne serait pas de trop.
Ah, cette voyelle grande bouche ouverte, gobeuse impénitente, aérocolie menaçante, "noir corset velu des mouches éclatantes" avait prédit Rimbaud, à vous deux l'affaire est bâchée, l'A n'a plus cours qu'au ballet bambochard de nos balsamiques baisers.
ah !
j'oubliais ... la photo est absolument incroyable ! mériterait sans doute d'être vue en grand !
A robase Slev: Waaaouaaahh!
@ Véronique: Feu d'artifice du 15 A out à Villeneuve sur Yonne!
La modestie du réverbère éteint contemplant l'explosion de lumières des fusées multicolores le transforme en spectateur ébloui.
Pardon Chri, si j'ai toujours tendance à personnifier les réverbères (ce qui peut devenir agaçant). Il me semble que je les ai toujours perçus ainsi. Des spectateurs bienveillants du monde, qu'il soit diurne ou nocturne...
Il n'y a pas de "A" dans poésie, ni dans poète. Et c'est très bien comme ça, on ne pourra rien leur retirer !
Perdu, le triple A ? Ah ah ah ! J'y crois pas, moa !
Je sors de voir "The Artist" : c'est du Grand Art... délectable, remarquable, admirable, inégalable, césarisable, oscarisable... In-clas-sa-ble, quoa !!!
@Odile : J'hésite encore, j'hésite... Je me dis méchamment qu'un film dans lequel on n'entend pas Dujardin ne peut pas être tout à fait invisible, mais j'hésite quand même...
@TiliaIl y en a un dans allumeur de révèrbère...
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