Ta manière d’être à moi me séduit
Ton regard alors s’étonne
Tu n’appartiens à personne
Je me le tiens pour dit.
Ma tanière d’honnête homme te ravit
Mon regard alors détonne
Si je ne suis rien ni personne
Qu’il en soit ainsi.
Ces manières, que chez moi tu décris,
D’un bref regard atone...
Je les abandonne…
Cela, seul m’est permis.
Les bannières que souvent je brandis
Changent les donnes.
Mais toi tu ne me pardonnes,
Que si je les... replie.
Les lanières qui me lacent à ton lit
M’attachent et me donnent,
L'allure ni mauvaise, ni bonne,
De celui a qui tout sourit.
L’art et ta manière de mener ma vie
Ne m’effraient pas, jolie Madone,
Mais l’air que j'y fredonne...
En douce, me suffit...
8 commentaires:
à chanter
Et ma panière, moi, j'en fais quoi alors ?
@Brigetoun: Vite, un compositeur!
@Michel: La panière? Mais oui, bien sûr!!!
Alors là, Jean-Loup Dabadie a trouvé un successeur !
Pour la musique, c'est à Julien Clerc qu'il faut s'adresser...
Fredonner cet air-là en douce !
manière de se dire, sans bannières ni manières :
j'aime, j'aime...
@Tilia, Odile: Vous êtes indulgentes comme tout!!!
Et pourquoi pas Romain ? Sur celui-là et d'autres d'ailleurs.
Slev
@Juste une j'aimerais beaucoup! Rien qu'une, déjà!
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