On a beau savoir par une douloureuse expérience que les plus pénibles, frondeurs, mal rangés sont, souvent, les plus malheureux, au bout d’un certain temps, le capital patience est sérieusement entamé, les réserves d’empathie se retrouvent à sec, la capacité de compréhension finit par flirter langoureusement avec le zéro.
Alors, les plus pénibles ne sont plus que… pénibles. Aussi, notre foudre ne souhaite s’engager que sur une voie: leur désintégration totale, définitive et irrémédiable.
Et cela ne va pas s’arranger, un système à fabriquer des malheureux s’est mis à tourner à plein régime… C’est d’un pénible… D'abord pour eux.
Crois-tu qu’il reste quelques biscuits dans la boite?
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